Novembre 2007. Après un divorce douloureux et une opération chirurgicale (racontée dans le chapitre 2, PHLEGMON BLUES) consécutive à cette cruelle séparation, et dont les Français n’auraient normalement pas dû entendre parler, Nicolas Sarkozy n’a plus que sa Rolex pour pleurer. C’est alors qu’il fait la connaissance de Carla Bruni, lors d'un souper organisé le 13 novembre 2007 par son conseiller matrimonial Jacques Séguéla. On connaît la suite…
Si les Français se fichent d'ordinaire de la vie privée de leurs dirigeants, ce mariage express et l’exposition, à la limite de l’obscénité, des frasques sentimentales du président Je suis partout, ont suscité les interrogations les plus loufoques sur "la sincérité du pacte". Véritable coup de foudre? Arrangement à l'amiable (les prolos appelent ça un "pari mutuel urbain") entre gens de la bonne société? Coup médiatique pour effacer l'image navrante d'un président puéril, incapable de gérer sa solitude? Rideau de fumée destiné à camoufler les dérives autocrates et les réformes scélérates du président? Contrat secret avec les patrons de la presse "people"? Un peu tout cela à la fois?
Novembre 2009. Deux ans ont passé. Les élections régionales arrivent à grands pas. Hantés par le "syndrome des municipales 2008" (l’étalage de la vie privée de Je suis partout avait fait très mauvais effet sur l’électeur de souche UMP), abasourdis par la dégringolade du président dans les sondages, les conseillers de l’Élysée poussent la "première dame" à se faire plus discrète. C’est pourquoi les noces de cuir du couple Sarkozy ne seront pas médiatisées.
Découvrez ce qui s’est passé le 13 novembre 2007 en lisant ICI le chapitre 3 du roman, JE VEUX CETTE FILLE!
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