29 septembre 2010

Le procès d'Eric Besson, ministre des Bons Français

Ce matin, Éric Besson, l'homme qui ne sourit jamais, s’envoie en l'air à Capri avec les deniers de la République et menace de casser la gueule au journaliste de Bakchich qui dévoile l’info, était l’invité de Philippe Cohen sur France Inter. Surmontant mon dégoût du personnage, j'ai écouté.
L'homme n'a pas changé et ne changera jamais. Il est là pour accomplir la basse besogne. Il n'a pas honte. Il mourira sans le moindre remords. Comme tous les traîtres? Mais il n'assume pas. Comme ces fonctionnaires subalternes qui remplissaient parfaitement leur rôle de courroie en d'autres temps sombres, quand de Bons Français allaient au devant des désideratas de l'Occupant nazi, il accomplit sa mission. Comme on accomplit un plan de carrière. Qui n'est rien d'autre que d'entretenir le climat nauséabond de guerre civile en charriant le fumier pour le compte du Petit Chef Malade, Nicolas Sarkozy. Éric Besson, c'est en quelque sorte un épandeur à fumier. Dans quelque temps, il reviendra sur les lieux de ses semailles, en espérant que les mauvaises graines qu'il a semées auront poussé. Et donné naissance à de magnifiques fruits, bien blets, bien rances. Si c'est le cas, le maître de l'Élysée le remerciera d'un hochet… (Mais ce ne sera pas le cas puisque, comme vous le savez, la folie rattrapera Sarkozy en juillet 2011.)
Dans mon roman (dans toutes les librairies, achetez-le pendant qu'il est encore en rayon!), des gens pas très nets, pas de bons Français assurément puisqu'ils n'ont même pas de papiers, ont enlevé Judas de Donzère, et instruisent son procès. Le texte est dès maintenant en ligne ICI, sur le blog LE PROCÈS D’ÉRIC BESSON (en cours de construction). La vidéo à laquelle il est fait allusion dans le livre sera en ligne courant octobre sur DailyMotion.
En attendant, on peut toujours se rafraîchir la mémoire en regardant sur le site de l’INA l'allocution du 17 juillet 1941, au cours de laquelle le maréchal Pétain utilisait pour la première fois le vocable de "bons Français".

27 septembre 2010

De l'inflation des fellations dans les lapsus buccaux de Rachida Dati: le point de vue d'un connaisseur, Nicolas "Minus" Sarkozy

La langue de Rachida Dati, formée à la dure école du 9.2. sous les ordres de Sarkozy (à l'époque où la colère lui faisait déjà casser les chaises), a encore turlutté… euh, pardon…, fourché. Le président Je suis partout, qui s'y connaît en lapsus (souvenez-vous de la fameuse "greffe de la foi" à l'hôpital de Villejuif le 18 juillet 2009!) donne son point de vue sur le blog paranoïaque de Nicolas Minus, président de la France qui a peur.

Peut-on encore parler aux sarkozystes en état de décrépitude mentale sans se faire casser la figure?

Dimanche 26 septembre. Village du livre de Merlieux (Aisne). Profitant du micro qui m'est tendu, je répands mon fiel sur "Radio Village", affirmant haut et fort ma conviction de la dégradation de la santé mentale de Sarkozy… Quelques minutes plus tard, un individu vient me voir, à qui je tends mon "tract", qu'il rejette d'un haineux: "Monsieur, je vous ai entendu à la radio, vous devriez faire un psychanalyse!"

24 septembre 2010

Eric Besson s'envoie en l'air gratis… et poursuit Bakchich en justice!

Eric Besson, ministre de l'Identité nationale, de la Rétention des immigrés et de la Question Rom, invité d'honneur de ce roman*, affirme son intention de poursuivre en justice le site Bakchich pour avoir dévoilé que le billet d'avion de son voyage de noces en Italie avait été pris en charge par la République.
Rappellons que le fringant Eric Besson n'a pas réagi à la publication du présent roman, auquel il a pourtant collaboré avec un enthousiasme non dissimulé. (Je mettrai très prochainement en ligne le chapitre 43 du roman, Judas crucifié, pour vous donner une idée si vous n'avez pas encore lu le livre…)

23 septembre 2010

Jeudi 23 septembre 2010. EN GREVE!

Christian Roux est un collègue auteur de polars. C'est aussi un ami, un musicien, un compositeur et un chanteur. Son dernier album, Goutte à goutte (avec Nicole Champenois aux voix), n'a pas la faveur des programmateurs radios frileux et au mauvais goût (concernant la chanson française) souvent indiscutable, et c'est bien dommage car l'un des onze morceaux du CD, le magnifique et incandescent En grève, est d'une brûlante actualité et serait tout à fait à sa place en tête des cortèges aujourd'hui…
Pour écouter, allez sur son site. Mais vous pouvez aussi l'acheter, les artistes, comme les écrivains, ne se nourrissent de fèves et de rutabagas!

Jeudi 23 septembre 2010. RIEN A SIGNALER pour Nicolas Minus

Sur son blog paranoïaque, Nicolas Minus, président de la France qui a peur, alias Je suis partout, alias Le Machin (Emmanuel Todd sur France 3), plus inspiré que jamais par Louis XVI, a écrit ces trois lettres. RAS.

Sarkozy crucifié par Emmanuel Todd: "Ce machin à la tête de l'Etat…"

En septembre 1960, Charles de Gaulle affublait l'ONU du sobriquet "Le Machin". Soixante ans plus tard, Emmanuel Todd, qui affirmait il y a peu "Le sarkozisme est une pathologie sociale. Ce que propose Sarkozy, c'est la haine de l'autre", reprend l'expression en déclarant "Ce machin à la tête de l'Etat…" lors de l'émission Ce soir ou jamais sur France 3. Les propos d'Emmanuel Todd sur "la honte d'être français" corroborent les échos que je recueille lors de la "promotion" de ce roman lors des fêtes du livre où je suis invité.


20 septembre 2010

Visite de Sarkozy à l’hôpital de Nancy (2009). La personne chargée de lui tendre une blouse blanche ne devait pas être plus grande que le président


Ignoré par les médias mais plébiscité par ses lecteurs, ce roman me vaut, outre la sympathie d'un public qui n'en peut plus du petit chef à la santé mentale fragile et apprécie de pouvoir s'amuser un peu avec un livre qui décrypte la folie, la muflerie et l'indigence intellectuelle du premier personnage de l'Etat, quelques confidences savoureuses (mais aussi parfois terriblement tristes) au hasard des fêtes du livre où je me rends pour en faire la "promotion". C’est qu’ils sont nombreux, les gens à avoir côtoyé, fût-ce pendant quelques minutes et en se pinçant le nez, celui qu'il nous faut hélas continuer à appeler "le président"! Ce fut le cas à Nancy, lors de la (géniale) manifestation Le Livre sur la Place, où j'étais invité par la librairie L'Autre rive.

Le 12 mai 2009, le président Je suis partout se rendait à Nancy, pour une visite-éclair (une façon de parler, puisque Sarkozy ne fait QUE des visites-éclair!) à l'hôpital de la ville. On se souvient qu'à l'époque les médias avaient évoqué le coût astronomique de cette visite, estimé à 2,35 millions d'euros. Personne n'avait révélé à l'époque un détail piquant (qui s'est répété depuis à plusieurs reprises, notamment lors de la visite à l'usine Faurecia de Flers ou chez Turbomeca en juin 2010): l'employé chargé de tendre une blouse blanche au chef de l'Etat avait été soigneusement choisi en raison de sa petite taille.

Comment se débarrasser de Sarkozy, ou la honte d’être français

C’est une femme de soixante ans. On dirait qu’elle vient de perdre un proche. Ou qu’elle n’a pas dormi depuis plusieurs semaines. Ou à tout le moins de passer de bien mauvais moments. En réalité, cela fait plus de trois ans que cela dure. Elle a juste perdu l’espoir au moment de ce qu’elle appelle « la farce », quand Sarkozy est arrivé. « Comment s’en débarrasser ? Vous devriez écrire un livre là-dessus… » Désemparée. Des larmes pointent au coin de ses yeux, j’ai l’impression qu’elle va éclater en sanglots. Elle se retient et finit par acheter mon bouquin. Pour « la cause ». Mais elle ne le lira pas. Pas pour le moment… Je lui dis que j’ai essayé d’écrire un livre plutôt marrant. Ça la choque un peu. « Comment réussissez-vous à rire avec Sarkozy ? » Je lui dis que je ne ris pas avec lui, mais sur son dos. Sur le ridicule, le pathétique, l’incommensurable et désespérante grossiéreté de l’homme politique le plus nuisible que la France ait connu depuis les Philippe Pétain, Pierre Laval et compagnie.

Le crétinisme sarkozyen a encore de beaux jours devant lui

La soixantaine bien tassée. Le type regarde le « tract » que je lui tends. Juillet 2011. Sarkozy plongea dans la folie. Et si c’était vrai ? Il tend ses deux bras, paumes ouvertes. « J’ai les mains propres… Votre dégueulis, hein… » Moue d’écœurement. Regard de mépris. Je ne réponds pas. Il insiste. « Le respect, hein… Et le respect ? » « Quoi, le respect ? Le respect… du président ?… Moi, vous savez, je respecte les gens quand ils sont respectables… Alors le président… » Le type va pour s’éloigner.  Je me dis qu’il aimerait bien me casser la gueule. Les séances de dédicaces peuvent se révéler dangereuses. « Vous avez quel âge ? » J’hésite à répondre. Je lui donne mon âge. Si ça peut le calmer… « Et vous avez fait quoi de votre vie ? » J’ai envie de lui dire que je suis un assisté, un chômeur, et d’ailleurs à cinquante ans je n’ai toujours pas de Rolex… Je préfère me taire. Le type s’en va en ruminant sa haine et son mépris. Sarkozy fait maintenant partie, avec la peine de mort, le racisme et la corrida, des sujets sensibles qu’on ne peut pas évoquer sans s’écharper si on n’est pas du même avis. La guerre civile peut commencer.

Sophie Davant, épouse de Pierre Sled, remplace Delarue sur France 2

On nous prie d'annoncer que Jean-Luc Delarue, viré de France 2 suite à une dramatique erreur de dosage de cocaïne, est remplacé par Sophie Davant, maman à l'écoute et épouse de Pierre Sled, protégé [bien qu'il s'en défende] du président Je suis partout.
J'ai le souvenir d'une émission sur Public Sénat, où, invité à débattre du délit d’outrage avec le sénateur centriste Pierre Fauchon, sur le plateau de l'émission Bouge la France (le 27 octobre 2008), ce monsieur (qui n'aurait jamais dû présenter autre chose que Stade 2), sans doute en raison d'une trop forte émotivité, me coupait la parole à chaque fois que je prononçais le nom de Sarkozy, qui venait de poursuivre pour outrage Romain Dunand, co-auteur de la Lettre au garde des Sceaux pour une dépénalisation du délit d'outrage.

17 septembre 2010

Crise de nerfs à Bruxelles (suite). Nicolas Minus menace d'appuyer sur le champignon

Au train où vont les choses, le président Je suis partout va faire mentir mes prévisions les plus optimistes et sombrer dans la folie un peu plus tôt que prévu (9-17 juillet 2011, rappelons-le à celles et ceux qui découvriraient ce blog et n’auraient pas encore acheté mon roman visionnaire et prophétique).

16 septembre 2010

Crise de nerfs à Bruxelles. Nicolas Minus se retient de respirer pour marquer sa désapprobation

Cette photo a été prise lors du dernier raout bruxelliote, dont il se murmure qu'il fut orageux pour le belliqueux petit président Je suis partout, rabroué par José Manuel Barroso à propos de la politique raciste d’expulsion des Roms et de la déclaration de guerre (avortée) au Grand Duché du Luxembourg. Quand Nicolas Sarkozy, qui a relu Astérix en Hispanie au Cap-Nègre cet été, se retient de respirer, le président de l’UE se penche pour pouffer.

Frédéric Péchenard. Les amis de Sarkozy ne savent pas éduquer leur progéniture

"Tu fais qu’un métier de con, je vais te muter à la circulation!" Cette phrase, qui ne déparerait pas dans la bouche du président Je suis partout (gonflette pectorale, rhétorique caporaliste, vulgarité atavique) fut prononcée le 17 juin 2009 par un adolescent parisien de 16 ans qui venait d'être arrêté en état d'ébriété sur son scooter. Au lieu de bénéficier du régime généralement consenti par les cow-boys des forces de l'ordre parisiens en de telles circonstances (menottage serré, insultes, brimades, garde à vue), l’ado fut rendu à son père, Frédéric Péchenard, grand chef de la police, grand ami et affidé de Sarkozy. Au lieu de le réprimander comme l'aurait fait tout parent désireux de donner une bonne éducation à sa progéniture, le père attrapa son téléphone pour demander au parquet de ne pas donner suite à cette affaire (qui aurait dû se terminer en poursuites pour outrage). L'affaire, révélée dans Le Parisien, fait hurler les syndicats de pandores, qui crient à la déstabilisation de la police.

Ci-joint l'article de Mediapart sur cette affaire, avec une petite interview de votre serviteur à propos du fameux délit d’outrage, dont nous sommes un certain nombre à réclamer depuis deux ans la dépénalisation.

15 septembre 2010

Cocaïne(s). Jean-Luc Delarue viré de France 2. Nicolas Sarkozy reste à l'Elysée

Le pleutre Jean-Luc Delarue, devenu cocaïnomane à cause de la dureté des histoires de ses invités (voyez son acte de contrition, je pouffe, comme aurait dit Desproges) vient d'être mis à pied par France 2. Le président Je suis partout, dont la cocaïnomanie n’a rien à voir avec la dureté des histoires de ses compatriotes, reste à l’Elysée.

14 septembre 2010

Fidel Castro a lu "Je suis partout (les derniers jours de Nicolas Sarkozy)"

Fidel Castro, auquel (c’est amusant), j'ai consacré (c'était en 2004), un roman dans la collection Le Poulpe (Castro, c'est trop!), dans lequel il rencontrait… Maurice Dantec (!), s'inquiète de la possible folie du président Je suis partout. A lire sur le site de l’Obs.

13 septembre 2010

Gros succès de "Je suis partout (les derniers jours de Sarkozy)" à la fête de l’Humanité

Depuis la sortie de ce livre en librairie, chaque fête du livre à laquelle je participe est l’occasion de rencontres joyeuses avec des lecteurs enthousiastes. L’hypothèse d’une explosion en vol de l’archi-haï président intrigue… et séduit une population largement atteinte par la sarkozia volubilisCes deux journées au Village du livre de la fête de l’Huma n’ont pas fait exception, et j’ai presque épuisé mon stock de livres.
Prochaines dédicaces. Le Livre sur la place, NANCY (18-19 septembre).
Fête du livre de MERLIEUX (Aisne), 26 septembre.
Fête du livre de GAILLAC (Tarn), 2/3 octobre.
Festival Interpol’art de REIMS, 9/10 octobre.

"Carla, une vie secrète", de Besma Lahouri. Les terribles révélations de Gérard Depardieu sur l'addiction du couple Sarkozy à la cocaïne

L’Élysée, mort de trouille à l’idée que cette biographie non autorisée de Carla Bruni ne contînt quelque révélation explosive sur les mœurs dissolues de la Première dame, le traitement au lithium ou l’addiction cocaïnomane du président Je suis partout, se serait procuré le texte de ce livre (après avoir tenté de dissuader l'éditeur de le publier), et aurait décidé de ne pas poursuivre l’auteure, Besma Lahouri, et son éditeur, Flammarion.

10 septembre 2010

Sarkozy, le président tout petit petit, et qui rétrécit

Cette couverture qui nous vient de la (très) perfide Albion, se passe de commentaire. The Economist, qui avait pourtant soutenu le président Je suis partout alors qu'il s'envolait vers les sommets, se goinfre sur le dos du grand malade.
La couverture du Nouvel Obs est pas mal non plus. Mais comment un homme qui rétrécit pourrait-il être dangereux, allons!!!

02 septembre 2010

Nicolas Sarkozy et Eric Besson ne poursuivront pas l'auteur et l'éditeur de "Je suis partout"

Ce livre est en librairie depuis le 2 juin 2010. Le délai légal pour entamer des poursuites (3 mois) étant révolu, il n'y aura donc pas de poursuites judiciaires, ni du président, ni de son faisandé ministre de la Nostalgie vichyste, de la Reconduite à la frontière et des Camps de rétention.

01 septembre 2010

Radio Libertaire a retrouvé le véritable discours d’intronisation de Sarkozy

Le 28 août, invité de l’émission Chroniques rebelles animée par Christiane Passevant sur Radio Libertaire (le seul média qui ait évoqué Je suis partout… à ce jour, merci les anars!), au cours d’une émission où nous nous marrâmes intensément, j’ai eu la surprise (et le plaisir) de découvrir le véritable discours d’intronisation de Nicolas Sarkozy en mai 2007, mis en onde par le comédien Nicolas Mourer, et que l’on peut écouter en cliquant ICI.
Le texte intégral est également en ligne sur le site de l’émission.
Je serai de nouveau invité sur Radio Libertaire le samedi 25 septembre de 10h à 11h30, à l’émission La philanthropie de l’ouvrier charpentier, animée par l’excellent Philippe Raulin.