24 juillet 2009

70 ans avant d’être le sobriquet de Sarkozy : JE SUIS PARTOUT, un journal collaborationniste

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (21)
Rendons à César ce qui est à César, et à Noël Mamère la primeur du sobriquet attribué par l’auteur de ce roman à Nicolas Sarkozy. C’est en effet dans Petits arrangements entre amis, co-écrit avec Patrick Farbiaz (Jean-Claude Gawsewitch éditeur) qu’apparaît pour la première fois l’expression Je suis partout. Dans ce livre-réquisitoire, publié en février 2009 et consacré au hold-up du clan Sarkozy sur l’audiovisuel, le député Vert et maire de Bègles, infatigable pourfendeur des dérives totalitaires sarkozystes (ils ne sont pas très nombreux au Parlement), mettait à nu, avec virulence et ironie, le pouvoir de celui qu’il considère comme un danger pour la démocratie.
Si l’on remonte un peu plus loin dans le temps, Je suis partout (il est bon de le préciser pour les jeunes internautes peu versés dans l’histoire de France) était un journal collaborationniste et antisémite, fondé en 1930 par Pierre Gaxotte, dont le dernier numéro parut en août 1944.
A celles et ceux qui me taxeraient de mauvais esprit, précisons qu'il n’y a rien de commun entre ce journal qui nous rappelle de si sinistres souvenirs et ce président aussi adroit et droitier que dépourvu de droiture, qui nous fait craindre des lendemains terribles. Même s’il est permis (mais passible de poursuites judiciaires) d’établir des passerelles entre certains points de sa politique, par exemple la politique des quotas d'expulsion des sans-papiers, et cette époque sinistre… Rappelons à ce sujet la susceptibilité procédurière du président et de ses préfets, à commencer par le plus éminent d'entre eux, Claude Guéant, qui tient une place de choix dans le casting de ce roman.
La seule raison du choix de cette pétaradante expression tient donc avant tout au fait qu’elle caractérise à merveille l’ubiquité, l’omnipotence, l’hypermobilité, l’agitation, la bougeotte d’un président de la République que ses gardes du corps, après l'avoir surnommé "L’Hyperactif", ont affublé du sobriquet "Je suis partout".

Trou du cul du web : Google pas gentil avec Sarkozy

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (20)
C’est le buzz du jour [ici, sur le Post]. Si vous tapez la requête trou du cul du web sur le moteur de recherche Google, vous tomberez sur le site officiel de Nicolas Sarkozy. Cela signifie que le président Je suis partout a été victime de Google bombing, technique de référencement qui a pour but de positionner un site en première position sur une requête du moteur Google. Je tiens à informer les lecteurs de ce blog, hébergé par Google, que je ne suis pour rien dans cette blague de très mauvais goût, d'une part parce que mes connaissances en matière de piratage informatique sont très limitées, d'autre part parce que le vocable "trouduc" [c’est ainsi que son grand frère le surnommait] devait prochainement faire l'objet d’une notule dans cette rubrique, et que ce piratage me coupe l'herbe sous le pied.


16 juillet 2009

JE SUIS PARTOUT (les derniers jours de Nicolas Sarkozy) : le CASTING

Pour faire un bon roman (en plus du style et de l'histoire), il faut que le casting soit à la hauteur, sinon, le lecteur se lasse, et il change de crémerie (ce qui n'est pas bon pour le commerce). C'est pourquoi JE SUIS PARTOUT (les derniers jours de Nicolas Sarkozy), à mi-chemin entre l'uchronie et la politique-fiction, vous propose un casting à la hauteur de ses ambitions. Avec des personnages de fiction (il en faut, sinon ce n'est pas un roman) et des personnages réels. Des connus. Des inconnus (les personnes rencontrées par le président, parfois oubliées, comme ce monsieur qui lui donna quelques cours de français, l’année (très pénible) où le président redoubla sa 6e ou, plus près dans le temps, Fernand Buron [le nom a été modifié], le "pov’ con" de Sarkozy, auteur de l’inoubliable Touche-moi pas, tu me salis! (que j'ai pu retrouver, grâce à Rue 89).
Afin que ce ne soit pas trop le souk sur ce blog (déjà très encombré), je vous propose de vous rendre sur le blog JE SUIS PARTOUT : LE CASTING.

Nez rouges : pourquoi JE SUIS PARTOUT n’aime pas les clowns

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (19)
Le 14 juillet, pendant que Je suis partout dévorait trois douzaines de macarons lors de son avant-dernière (et coûteuse) garden-party – vous savez maintenant, si vous lisez attentivement ce blog, que celle de 2011 se fera en son absence –, la manifestation de la Brigade des clowns était sévèrement réprimée par la police, et le photographe Cyril Cavalié s’en est pris plein les dents. On a même vu ensuite au commissariat (authentique) des clowns entonner le refrain Sarkozy, nous voilà! (qui redevient à la mode ces temps-ci, et ça ne fait que commencer).
Un qui a dû se marrer en apprenant la nouvelle, c’est le président. Car (ça n’a évidemment pas été crié sur les toits par ses peureux biographes) quand il était môme, le petit Nicolas détestait viscéralement les clowns. Comment sais-je une chose pareille? Eh bien, elle m'a été rapportée par Lili, l’employée hongroise qui fut, à l'époque où Dadu chassait Pal l’infidèle du domicile conjugal, gardienne d’enfants chez les Sarkozy, rue Fortuny. Mais pourquoi Nicolas Sarkozy détestait-il à ce point les clowns? Ça, mes amis, vous l'apprendrez en lisant le roman, de la bouche de Lili elle-même (rebaptisée Irène), lors de ses retrouvailles (fort émouvantes), en juillet 2011, avec le petit Nicolas devenu président.

14 juillet 2009

14 juillet 2009 : un commando terroriste s’en prend à l’intégrité psychique de JE SUIS PARTOUT

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (18)
En attendant (2 ans encore!) la catastrophique garden-party de 2011 d’où il sera absent et qui sera narrée dans les moindres détails dans le roman (en cours d’écriture, ça avance à grands pas!), de premiers signes alarmants se font jour quant à l’avenir du président Je suis partout (saluant, ci-contre, la foule venue dévôtement l’acclamer, voyez comme il est déjà crispé) et à la servilité de la presse.
C’est ainsi que l’on peut lire sur le blog (Télérama) de Samuel Gontier un désopilant papier intitulé "Un commando terroriste attaque l’Elysée". Les deux terroristes – même pas présumés, regardez leur patibulaire autosatisfaction, on voit tout de suite que l’on a affaire à des coupables en puissance, prêts à récidiver à la moindre occase –, Christian Malard et Bernard Vaillot, se sont livrés à un véritable bombardement de questions extrêmement choquantes et désobligeantes. A la question "D’où vous vient toute cette énergie permanente?" [sic], Nicolas Sarkozy, bien que poussé dans ses retranchements, refusant de céder au syndrome de Stockholm, répond sans se démonter: "Je me suis toujours mis des défis dans ma vie… Je suis partout, c'est comme ça depuis tout petit et c’est pas prêt de s’arrêter, Messieurs!"

13 juillet 2009

Corde sensible : pourquoi JE SUIS PARTOUT pleure en écoutant "Si seulement je pouvais lui manquer"

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (16)
Cliquez ICI et vous entendrez l’une des chansons préférées du président. La seule qui l’ait fait vraiment pleurer (avec Je suis malade de Serge Lama, mais c’était il y a longtemps…). C’est beau, non?
Calogero (qui, assez inexplicablement, n’a pas encore reçu la Légion d’honneur) a-t-il composé cette chanson en pensant à Nicolas Sarkozy? La question peut se poser, tant on y trouve réunis les thèmes chers à Je suis partout.  Mais connaît-on la vraie raison pour laquelle le président a les larmes aux yeux en l’écoutant? Cette raison vous sera (évidemment!) dévoilée dans le roman. En attendant, vous pouvez déjà trouver quelques indices dans le premier chapitre [c'est là, vous y êtes, n’allez pas plus loin sinon vous allez tomber dans le précipice…].

Rapetou : Madame Carla "JE SUIS PARTOUT" Bruni pique dans la caisse de la République

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (17)
Il y a longtemps (je vous parle d'un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître), la première dame de France, Tante Yvonne, payait de sa poche le biftek et les factures d'électricité de son époux président, le général de Gaulle. Et vendait en douce l’argenterie de La Boisserie pour pallier aux besoins d’argent du ménage… Les temps changent…
De retour d’un long week-end dans le comté de Nagy-Boçsa (quelques repérages: c’est très moche, là-bas, même si on vous offre le voyage, n’y allez jamais!), voilà-t-il pas ce que j’apprends, par la plume de mon homonyme et ami Thierry Reboud, chroniqueur émérite, comme moi, sur Rue89.
Il paraît que l’épouse du chanoine de Saint-Jean-de-Latran, Madame "Sans Gêne" Je suis partout, a décidé que la France allait abouler 3,2 millions d’euros pour réparer le dôme de l’église de L’Aquila, sinistrée par le récent tremblement de terre…  Vous devriez faire attention, ma p’tite dame! Les Français sont peut-être des veaux, mais ça fait pas si longtemps que ça qu’on a guillotiné un Roi, par chez nous. Et vous n'êtes pas sans savoir que votre époux, le petit Nicolas, est totalement terrorisé à l'idée de finir comme le roi Louis XVI

10 juillet 2009

Plus loin, plus haut, plus fort, plus longtemps : JE SUIS PARTOUT reçoit son jouet

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (14)
JE SUIS PARTOUT ne voulait pas qu’on montre son nouveau jouet tout neuf, un magnifique Falcon 7X livré le 3 juillet à l’aéroport de Villacoublay, au moment même où Nicolas Sarkozy faisait une entrée en fanfare dans l’inconscient collectif français     (c’est à ce genre de détail que l’on peut juger de la grandeur d’une Nation).
Comme on peut le lire sur le blog Défense ouverte de Jean Guisnel, c’est loupé. Désormais, grâce à ce palais volant, le président pourra voler plus loin, plus longtemps, et être encore plus vite partout partout partout… Mon informateur à l’Elysée m’informe que le président aurait profité de l’occasion pour se débarrasser de son vieux Buster d’enfant (on ne sait pas s’il l’a offert au petit Aurélien ou au petit Louis, mais ce n’est pas très important…).

09 juillet 2009

Prémonition villepiniste : 197 ans avant l'avènement de JE SUIS PARTOUT, le nom de Nicolas était une insulte

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (15)

Invité ce matin de France InterDominique de Villepin tirait sur Nicolas Sarkozy à la mitrailleuse lourde, avec une délectation et une onctuosité qui rappelait les grands moments de Galouzeau à l’ONU (à côté de ça, les anathèmes guerriers de Bayrou ressemblent à un pet de poisson pané dans la pôele), allant jusqu’à traiter notre pauvre président de déviant.

C’est l’occasion de rappeler que dans son (remarquable) "Les Cent-Jours ou l'esprit de sacrifice", l’âme damnée de Je suis partout [cela se vérifiera encore en 2011, et de quelle cruelle façon!] raconte l'anecdote (prémonitoire?) suivante. Lors du périple humiliant qui l'emmène à l'île d'Elbe, l'empereur déchu Napoléon se fait copieusement huer en Provence, "vieille terre royaliste où l'amour des Bourbons s'est nourri des guerres de Religion et du sang versé durant la Révolution." La foule crie "Vive le roi! A bas Nicolas! A bas le tyran, le coquin, le mauvais gueux!" DdV précise que Nicolas était le prénom favori que la légende noire attribuait à l'Empereur. "Ce nom de Nicolas était dans le Midi un des pseudonymes insultants de Napoléon, ailleurs c'était aussi un des pseudonymes de Satan l'empereur de l'enfer."

08 juillet 2009

Pousse-café : ce que se sont dit Michel Houellebecq et JE SUIS PARTOUT

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (13)
Il y a peu, Je suis partout recevait à souper le grand écrivain franco-raëlien Michel Houellebecq [écoutez-le sur Europe 1 chanter les louanges de son amphitryon]. Au menu: potage à la truffe et à l’asperge façon Guy Savoye (l’un des plats préférés du président), pâtes fraîches, eau plate (ces gens-là sont sobres comme des chameaux) et surtout d’intéressantes confidences sur la géopolitique, le clonage (le sujet passionne Je suis partout, vous vous en doutez), la race canine et la sexualité, que vous découvrirez dans le roman (on ne peut pas tout révéler maintenant!).

En attendant, si vous avez 10 euros à dépenser, et si vous voulez rire un peu, vous pouvez toujours lire De Gaulle, Van Gogh, ma femme et moi (éditions Après la Lune) [le site Polar Noir a beaucoup aimé, la preuve], dans lequel le génial inventeur de la partouze élémentaire, accompagné de son fidèle condisciple Philippe Sollers, fait une apparition remarquable.

07 juillet 2009

Hérédité : le fils de JE SUIS PARTOUT (le Prince Jean) également doué d’ubiquité !

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (12)
Les habitants de Saumur n’en sont toujours pas revenus…
Le Maine libre (dont il serait peut-être temps de se demander s’il n’est pas dirigé par des gauchistes d’obédience tarnacienne!) se fait un malin plaisir de révéler que le prince Jean (l’un des deux fils de Je suis partout) marche royalement sur les brisées de son auguste géniteur, non pas en se lançant dans la politique (c'est déjà fait, et avec quel brio!), mais en étant lui aussi PARTOUT. 

06 juillet 2009

Breloques : JE SUIS PARTOUT décore (enfin) son avocat, Me Thierry Herzog

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (11)
Je ne résiste pas au plaisir de vous trompetter la bonne nouvelle, que j’apprends par une indiscrétion d’un riverain de ma rue préférée (la Rue89) dont la fenêtre donne sur les jardins de l’Elysée: l’avocat personnel du président Je suis partout et de son fils le prince Jean voir article ci-dessus), le redoutable Thierry Herzog, entrecroisé au procès de M’hamed Bellouti [lire ICI] vient enfin d’être décoré de la prestigieuse Légion d’honneur, en présence de plusieurs dizaines de personnalités juridiques et d’avocats (les miens n’étaient pas de la noce). Toutes nos félicitations à l’heureux impétrant! 

Regrets éternels : Rachida Dati quitte le JE SUIS PARTOUT barnum

Ah, Rachida Dati! Garde des Sceaux le jour, gardienne des sauts à champagne à la fermeture des bureaux! Je me faisais une joie de lui offrir un rôle à la mesure de son talent dans ce roman… Hélas, trois fois hélas, les services rendus à la Cour n’ayant pas été à la hauteur des espérances de son maître et mentor Je suis partout, le président lui a donné ses huit jours au bout de 2 ans de bons et joyaux services! C’est dommage, car avec mon ami l’outrageur de 1ère classe Romain Dunand [condamné à 600 euros d’amende pour avoir outragé Je suis partout], nous nous apprêtions à lui écrire une gentille petite bafouille pour célébrer le premier anniversaire de notre Lettre au garde des Sceaux pour une dépénalisation du délit d’outrage, parue en juin 2008, qui n'a jamais reçu de réponse de la dame de fer Vendôme. La mort dans l’âme, nous avons dû nous "rabattre" sur sa successeuse, la très paranoïaque Michèle Alliot-Marie, dont nous espérons qu’elle aura le temps, le bon goût et la courtoisie d’accuser réception de notre courrier avant juillet 2011, date à laquelle, je le rappelle à ceux qui auraient loupé le début de la séance, la santé du Chef de l’Etat fléchissant, un immense remaniement ministériel est à craindre.
Pour en savoir plus sur la question de l’outrage, reportez-vous au site du CODEDO. et allez signer la pétition sur celui de la Ligue des droits de l’homme.

05 juillet 2009

Lucidité : JE SUIS PARTOUT reconnaît qu’il a du mal à "habiter la fonction"

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (10)
Interviewé par les journalistes d’investigation Michel Labro et Denis Olivennes [qui pratique avec talent la rhétorique du tout-à-l’égout], le président Je suis partout, dans un accès de lucidité qui l’honore, déclare au Nouvel Observateur: "J’ai commis des erreurs. (…) Il faut un temps pour entrer dans une fonction comme celle que j’occupe, pour comprendre comment cela marche [la présidence], pour se hisser à la hauteur d’une charge qui est, croyez-moi, proprement inhumaine."
La suite de l’interview (qui a fait grand bruit au sein de la rédaction de l’Obs) est à lire ICI. Pour le mea-culpa complet du président (prévu en juillet 2011), il vous faudra patienter jusqu’au chapitre HABITER LA FONCTION du roman.

04 juillet 2009

3 juillet 2009 : JE SUIS PARTOUT entre dans l’inconscient collectif français

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (9)
Pour avoir lors d'un contrôle d’identité à la gare de Marseille, lâché aux policiers: SARKOZY, JE TE VOIS! un prof de philo était poursuivi, non pas pour outrage comme le veut une vieille tradition française remontant à Napoléon, mais pour tapage injurieux diurne. Le juge de proximité avait requis 100€ d’amende. Il a finalement été relaxé.
Il est donc désormais permis de s’écrier dans la rue (sans être embastillé) SARKOZY JE TE VOIS!
Lire à ce sujet, sur Le Monde.fr, le très intéressant témoignage de Patrick Levieux, où il raconte comment il a utilisé cette affaire pour faire un happening citoyen.

01 juillet 2009

Bondieuserie : Pourquoi JE SUIS PARTOUT a emmené Bigard avec lui au Vatican

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (7)
On a beaucoup glosé sur le fait que Je suis partout tenait beaucoup à ce que son copain Jean-Marie Bigard assiste à son intronisation au titre (planétairement envié) de "chanoine de Saint-Jean-de-Latran". Mais personne n’a dit pourquoi il l’avait emmené avec lui. La réponse (toute bête, mais il fallait y penser) se trouve dans le premier chapitre du roman, que vous pouvez lire en cliquant ICI.

Pourquoi Joseph Tual, journaliste à France 3, ne se laisse pas démonter par JE SUIS PARTOUT

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (8)
Le journalisme couché, ce n'est pas le genre de Joseph Tual, journaliste à France 3, titulaire de la carte de presse 60128, convoqué par le président Je suis partout le 2 juillet, à la suite du fameux "off" de France 3 diffusé sur le site Rue89. Joseph Tual vient d’écrire une retentissante et salutaire lettre ouverte au petit homme énervé de l’Elysée, crânement intitulée: "Nicolas, j’irai à ta convoc.