22 mai 2014

Henri Guaino a peur d’être condamné pour outrage et demande un passe-droit à l’Assemblée


Mars 2013. Henri Guaino, l'ex-nègre raciste de Sarkozy, ne supportant pas que le juge Gentil inquiète le détrousseur de vieilles dames dans l’affaire Bettencourt, accusait le magistrat "d’avoir sali la France". Ce qui lui valut des poursuites pour outrage à magistrat. Il se murmura même qu’une demande d’internement était dans les tuyaux, mais ce n’était qu’un bruit. Soulagé de garder sa liberté, Guaino déclara alors bravement qu'on allait voir ce qu’on allait voir, et qu’il allait se défendre lui-même.
Mai 2014. L’irascible député, réalisant que la justice n’est plus aux ordres de la mafia sarkozyste et qu’un accident de prétoire est vite arrivé, succombe à une crise de pétoche et décide d’employer les grands moyens. Il dépose à l'Assemblée nationale une proposition de résolution exigeant l’arrêt des poursuites judiciaires contre sa personne. Ce qui est, convenons-en, une manière autrement plus noble de salir la France que celle employée par le juge Gentil.