28 mars 2012

Les derniers jours de Nicolas Sarkozy (la fiction)

Noël 1960. Pal Sarkozy offre au petit Nicolas une épée de chevalier en bois, sur laquelle il a gravé ces mots "Mindenhol vagyok!"

Novembre 1970. Profitant de l’hébétude de Nicolas à la suite de la mort du général de Gaulle, Guillaume (le trop GRAND frère) confisque l’épée… Nicolas pleure beaucoup.
Mai 2007. Devenu (enfin) CHEF tout puissant, Nicolas récupère l’épée et traduit la phrase dans la langue de la princesse de Clèves. "Je suis partout."
Juillet 2011. Rien ne va plus. Les "connards" de l’UMP s’entretuent. La grosse Le Pen enfle, enfle… Trahi par tout le monde, haï par les Français qui n’en peuvent plus du zozo, Sarkozy se bunkérise à l’Elysée, il se laisse pousser les moustaches pour ressembler à son vilain papa tant détesté…
Et c’est alors que Claude Guéant (très déprimé depuis qu’il a perdu son épouse et totalement dévoué au président pour qui il éprouve d’étranges sentiments…) et ce crétin de Henri Guaino ont une idée lumineuse, qui va, bien entendu, causer la perte et accélérer la déchéance du président…

26 mars 2012

Obscénité. Sarkozy récupère la douleur des victimes de la tragédie de Toulouse et écrit aux Français de l'étranger inscrits sur Facebook

La tragédie de Toulouse n’aura pas longtemps "suspendu" la campagne. Sarkozy, le premier président de la République qui ne peut pas se déplacer en France sans être accompagné d’une armada policière [sans quoi, on l’a vu à Bayonne, des émeutes éclateraient], sait qu'il ne sera pas réélu. Ou s’il ne le sait pas encore, il le sent. Comme un chien qui flaire que sa dernière heure approche. Comme tous les chiens aux abois, Sarkozy a peur. Alors il aboie… De loin… Parce qu’il n’aime pas les gens… Qu’ils soient juifs, musulmans, catholiques, bouddhistes, athées, Sarkozy n’aime pas les gens (à part, peut-être, les riches, cette "caste" à laquelle il a accédé par procuration, en se faisant élire à l’Elysée).
A celles et ceux qui auraient encore la naïveté de croire à la sincérité de sa douleur après la tragédie de Toulouse (ou plutôt les tragédies de Montauban-Toulouse), voici la lettre que tous les Français résidant à l'étranger présents sur Facebook viennent de recevoir :

Mes chers amis,

La semaine que nous venons de vivre a été particulièrement éprouvante.


Un assassin a voulu, selon ses propres mots, « mettre la France à genoux » en enlevant la vie de trois enfants, de quatre militaires et d’un enseignant.

Comme vous le savez, j’ai immédiatement interrompu ma participation à la campagne présidentielle pour assumer pleinement mon devoir de Président de la République et de chef des armées. Je me suis rendu le jour même à Toulouse pour être aux côtés des enfants, des familles des victimes et pour donner au ministre de l’intérieur et aux forces de sécurité les instructions les plus fermes pour identifier et retrouver l’auteur de ces actes monstrueux. J’ai réuni, ensemble, en signe d’unité nationale, des représentants de la communauté juive et du culte musulman. Une minute de silence a été organisée dans toutes les écoles de France à la mémoire de ces enfants martyrisés et des mesures drastiques ont été prises pour lutter contre les propagateurs de haine et de violence, des mesures que je ferai immédiatement voter en mai, si les Français me font confiance. Mercredi, j’étais à Montauban pour rendre un hommage solennel à nos trois soldats français abattus parce qu’ils étaient l’armée française, parce qu’ils incarnaient la République. J’ai tenu également à rendre hommage aux hommes du RAID qui ont risqué leur vie pour mettre ce tueur, qui a voulu semer la haine et la terreur dans notre pays, hors d’état de nuire.

Face à cette tragédie nationale, la France rassemblée a donné une magnifique image de dignité.

Aujourd’hui, si nous ne pouvons et ne devons rien oublier, la campagne présidentielle a repris ses droits. Je me suis rendu jeudi, à Strasbourg, pour parler des valeurs morales qui sont le fondement de notre Nation et de notre République. Vendredi, j’étais avec Jean- Louis Borloo à Valenciennes, ville métamorphosée par la rénovation urbaine, pour annoncer un nouveau plan pour désenclaver nos quartiers et transformer la vie de leurs habitants. Hier encore, à Rueil Malmaison, j’ai défendu mon projet d’une France forte dans une Europe forte, de la production et de l’emploi.

Mes chers amis, il nous reste un mois pour bâtir la plus formidable aventure, un mois pour bousculer toutes les certitudes. Aidez-moi à construire la France forte, à faire triompher nos idées, nos valeurs, notre idéal. J’ai besoin de vous.

Avec toute mon amitié,

La France se construit avec vous.

La France forte, c'est vous

Nicolas Sarkozy