06 juillet 2013

Sarkozy : c'est dur d'être un mafieux (quand on ne vit pas au pays de la Mafia)

Empêtré dans les problèmes que l’on sait (affaire Balladur-Karachi, affaire Guéant-Kadhafi, affaire Woerth-Bettencourt, affaire Lagarde-Tapie, dépas-sement des frais de campagne pointés par le Conseil constitutionnel, sans parler des tripatouillages minables de son ex-Premier Flic Claude Guéant, le petit mafieux Sarkozy est en voie de provoquer la banqueroute du parti politique qui l'avait porté au pouvoir, et vient de claquer la porte du Conseil constitutionnel. (Jean-Louis Debré a dû avoir très peur!)
On ne peut que se réjouir que le sarkozysme, qui n'est autre, doit-on le rappeler, qu’un système mafieux pas si bien organisé que ça (il aurait fallu pour cela qu’il perdure au moins deux décennies, ce qui n’est pas le cas) soit en train de se casser la gueule, à tel point que seules les vieilles bourriques de retour telles que Hortefeux ou Guaino montent au front pour défendre le petit chef!

Sur certaines de ces affaires, et puisque ce blog reçoit encore 500 visites par mois, bien que cette politique-fiction soit maintenant du domaine du passé, je ne résiste pas au plaisir de vous renvoyer au blog de Nicolas Minus, président (paranoïaque) de la France qui a peur, pour connaître ce qui se passait à l'époque dans la tête de ce tout petit homme d’État, euh, pardon, d’état :
Sans oublier ce post du 17 septembre 2010, très actuel :