21 novembre 2016

20 novembre 2016 : la raclée !

Cette fois, c’est la bonne !
Écrasé par Mister Nobody aux primaires de la droite, Nicolas Minus quitte l’Histoire par la toute petite porte. Comme le note Courrier International, c’est la fin du Berlusconi français.
Il ne reste donc plus qu’à :
– lui couper les oreilles
– le traduire en justice
– l’expédier dans un cachot de la République

09 avril 2016

"L’esprit Bénuchot" : un road-movie parisien, poétique, métaphysique et désopilant

Cinq ans après mon dernier roman sur la désastreuse santé mentale de Sarkozy (qui s’est considérablement détériorée depuis, ainsi que je l’avais prévu), j’ai décidé de changer radicalement de style et de sujet, en racontant la vie d’un octogénaire parisien en pleine possession de ses moyens, lui, un certain Jules Bénuchot qui a passé sa vie à noter toutes ses rencontres sur des carnets.

Jules Bénuchot, 82 ans, ancien chauffeur de taxi, vit à Paris, rue de la Grange-aux-Belles, près du canal Saint-Martin. Ce vieux monsieur taciturne n’a pas eu une vie facile. Sa famille et ses êtres aimés ont tous disparu dans les petits et les grands malheurs du siècle dernier. Il vit seul avec son chat Schrödinger, même s’il n’est pas certain qu’il soit toujours en vie.
Surtout, Jules Bénuchot est passionné, si ce n’est possédé, par la physique quantique, cette science de l’infiniment petit, fascinante, exaspérante, incompréhensible au commun des mortels. Il est persuadé que pour appréhender les convulsions de la capitale, qu’il connaît sur le bout des doigts, il n’existe pas de meilleurs alliés que le hasard, l’incertitude, les probabilités. Tel un physicien quantique modifiant l’état d’une particule, il change par petites touches le destin de ceux qu’il croise, vivants et morts.
Pour écrire le roman de sa vie, il engage Léa, jeune artiste des rues, qui va décrypter les centaines de carnets où il a consigné soixante années de rencontres, entraînant le lecteur dans un grand road-movie parisien, poétique, désopilant et métaphysique. Un très beau roman sur l’apprentissage de la liberté.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site L’esprit Bénuchot


23 janvier 2016

Le sursaut de lucidité de Sarkozy : "J'ai abaissé la fonction présidentielle."

D-Day en Normandie - talonnettes à Heathrow
Pendant que son prédécesseur à l’Élysée sombre dans les affres de la maladie d’Alzheimer, Sarkozy retrouve la mémoire d’une façon éclatante…
Dans son livre "La France pour la vie", écrit dans le principal but d’emmerder son ancien ministre Alain Juppé et son ancien souffre-douleur François Fillon, alias Monsieur Nobody, devenus beaucoup plus populaires que lui, Nicolas Minus déclare, à propos du Casse-toi pov’con !  adressé à Fernand Buron : "Ce fut un erreur, car il avait le droit de penser ce qu’il disait, même s’il n’avait pas à me le dire ainsi. Mais en lui répondant, je me suis mis à son niveau. Ce fut une bêtise que je regrette encore aujourd'hui. En agissant ainsi, j'ai abaissé la fonction présidentielle."
Ce sursaut de lucidité, pour tardif qu’il soit, jette une lumière cruelle sur le syndrome de Nicolas Minus dont souffre le petit mafieux de Neuilly depuis sa plus tendre enfance, comme le rappelait cruellement le journal anglais Metro. Gageons que ce mea culpa de marketing servira à ses avocats pour plaider les circonstances atténuantes lorsqu’il sera confronté aux joies du prétoire, si cela a lieu un jour…
À l’usine Faurecia de Caligny (sept 2009)  lors du fameux "casting des petits"
Sarkozy au CHU de Nancy en mai 2009 : le syndrome de Nicolas Minus atteint des sommets

Profitons de l’occasion pour relater une anecdote cocasse qui me fut rapportée en 2010, la voix tremblotante tant elle avait été estomaquée par une telle aberration mentale, par l’infirmière-chef du CHU de Nancy. Quelques semaines avant la (coûteuse) visite présidentielle du 12 mai 2009, le CHU de Nancy reçoit un coup de fil du service de protocole de l'Élysée. Les ordres sont formels. "Veuillez à ce que la blouse qu'enfilera le président lors de son passage au bloc opératoire ne soit pas trop grande pour lui." Branle-bas de combat chez les employés du CHU, qui dégottent un infirmier de la taille de Sarkozy et font des essayages au millimètre. C'est bon, le président ne paraîtra pas trop gringalet !
Deux semaines plus tard, second coup du fil de l’Élysée. Cette fois, il s’agit que la personne qui tendra la blouse au président soit plus petite que lui !