Le 14 juillet, pendant que Je suis partout dévorait trois douzaines de macarons lors de son avant-dernière (et coûteuse) garden-party – vous savez maintenant, si vous lisez attentivement ce blog, que celle de 2011 se fera en son absence –, la manifestation de la Brigade des clowns était sévèrement réprimée par la police, et le photographe Cyril Cavalié s’en est pris plein les dents. On a même vu ensuite au commissariat (authentique) des clowns entonner le refrain Sarkozy, nous voilà! (qui redevient à la mode ces temps-ci, et ça ne fait que commencer).
Un qui a dû se marrer en apprenant la nouvelle, c’est le président. Car (ça n’a évidemment pas été crié sur les toits par ses peureux biographes) quand il était môme, le petit Nicolas détestait viscéralement les clowns. Comment sais-je une chose pareille? Eh bien, elle m'a été rapportée par Lili, l’employée hongroise qui fut, à l'époque où Dadu chassait Pal l’infidèle du domicile conjugal, gardienne d’enfants chez les Sarkozy, rue Fortuny. Mais pourquoi Nicolas Sarkozy détestait-il à ce point les clowns? Ça, mes amis, vous l'apprendrez en lisant le roman, de la bouche de Lili elle-même (rebaptisée Irène), lors de ses retrouvailles (fort émouvantes), en juillet 2011, avec le petit Nicolas devenu président.
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