
Pour son ultime défilé militaire du 14 juillet (il ne sera pas présent à celui de 2011), le président Je suis partout (dont la santé mentale commence à inquiéter en haut lieu, son traitement au lithium aurait de fâcheux effets secondaires) a décidé de faire entrer l’homme africain dans l’Histoire en invitant quelques bataillons africains à défiler sur les Champs-Elysées. Ainsi en ont décidé le géniallissime Henri Guaino et Jules Dessanti, le conseiller ventriloque du président, entré en fonction tout récemment (dans le plus grand secret, bien entendu), pour tenter de sauver ce qu’il peut encore l’être, à la suite de la tempête Woerth-Bettencourt, qui n’en est qu’à ses débuts.
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