D’ici quelques jours, Nicolas Sarkozy va s’envoler pour le Cap Nègre en compagnie du fidèle Claude Guéant, de son conseiller ventriloque Jules Dessanti, de son épouse et de ses deux affreux clébards.
Il emportera dans ses bagages un livre qui va beaucoup l’énerver (c’est un euphémisme), Le dernier dimanche de monsieur le chancelier Hitler de Jean-Pierre Andrevon. Cette uchronie publiée aux éditions Après la Lune va l’imprégner durablement, jusqu’à la chute finale.
Lire la suite ici (pour les détails de la chute finale, lire Je suis partout…).
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