Dès la mise en chantier de ce roman (avril 2009), un question s’est posée à moi: "Que faire d’Eric Woerth, alors ministre du Budget inodore (trop?) du président Je suis partout?" Lui confier un petit rôle dans ce roman, malgré son manque flagrant d’épaisseur? Le refouler sans pitié? La seconde solution l’a finalement emporté.
Les événements récents m’ont donné raison… En juillet 2011, quand Nicolas Sarkozy aura plongé dans les abysses de la folie, le maire de Chantilly (réfugié en Suisse avec sa femme et ses chevaux) aura depuis longtemps été enseveli dans les poubelles nauséabondes de la Ve République…
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