Aujourd’hui, Philippe Rey, préfet des Pyrénées-Atlantiques, qui, après s'être fait remarquer par ses plaintes pour outrage contre des citoyens [ici, Eric Soarés, médecin] coupables, à ses yeux, d’avoir comparé le sort réservé aux sans-papiers par les services d’Eric Besson aux coutumes en usage sous le régime de Vichy, vient de se distinguer en demandant au tribunal administratif de Pau de "cacher à la vue, et par tous les moyens, des citoyens" de Billère (64) la "fresque des expulsés" peinte sur le mur des anciennes pissotières de la ville. Le juge des référés lui a donné tort, mais le préfet ne s’avoue pas vaincu, et repart à la charge contre le maire PS de Billère, Jean-Yves Lalanne! On l’applaudit bien fort! Patron, une Légion d’honneur, SVP! (Zut, il l’a déjà…)
JUILLET 2011. Le président se bunkérise à l'Elysée. Sa paranoïa atteint des sommets. Le 14 juillet, il est absent des cérémonies. Les rumeurs les plus folles courent. Carla l’a-t-elle quitté? A-t-il perdu la raison? A-t-il été kidnappé par les sicaires de Khadafi? Est-il toujours vivant? En désespoir de cause, Claude Guéant imagine un stratagème pour sauver le président. Mais un coup de théâtre va anéantir ses derniers espoirs… UNE POLITIQUE-FICTION RATTRAPÉE PAR LA RÉALITÉ !
23 octobre 2009
La vie spirituelle des grands fauves de la Sarkozie : Philippe Rey, préfet des Pyrénées-Atlantiques
Il n'y a pas que Sarkozy dans la Sarkozie. Il y a aussi ses serviteurs, ses affidés, ses thuriféraires, ses courtisans, ses obligés. Certains font partie du casting de ce roman, d'autres non. Afin de réparer cette injustice, cette nouvelle chronique vous présentera, de temps à autre, quelques-uns des plus beaux specimens des grands fauves d’Etat sans lesquels la République de Sarkozie ne serait pas tout à fait ce qu’elle est.
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