Je suis partout se prend pour le Roi-soleil et quitte l’Elysée pour le château de Versailles, où il prononce un discours qui coûtera à la couronne 500.000 écus. Ça ne lui portera pas bonheur…
Lors du passage entre deux haies de gardes républicains sabre au clair dans la grande galerie menant à l’amphithéâtre, où l’attendent 900 sénateurs et députés confits de dévotion, une voix d’outre-tombe lui murmure à l’oreille "Un coup de sabre jamais n’abolira le hasard". Durant la nuit du 22 au 23 juin, il se rêve en Louis XVI guillotiné.
C’est le début d'une longue série de cauchemars, qui culmineront en juillet 2011. Et dont vous serez entretenus dans le roman qui fait l'objet de ce blog.
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