26 juin 2009

Pourquoi JE SUIS PARTOUT est captivé par les eaux usées de sa belle-maman

Petits secrets et grandes énigmes de l’Histoire immédiate (4)
Vous avez évidemment entendu parler de la surprise des co-propriétaires de la résidence du Cap-Nègre, où habite Mme Bruni-Tedeschi mère, lorsque Je suis partout s’invita à leur AG et tenta de les convaincre de mettre aux normes le tout-à-l’égout. Vous savez aussi que le pauvre préfet du Var, un certain Jacques Laisné, a été récemment limogé pour avoir, semble-t-il, montré assez peu d'entrain à défendre les théories (pourtant pleines de bon sens puisque c'est lui le chef!) du président de la République, concernant le réseau d’assainissement des eaux usées. La raison de cette forte implication, qui confine à l'acharnement (aucun média n'en a parlé, c'est assez étrange) est simple: Je suis partout éprouve un véritable traumatisme par rapport à la boue.

A cause des souvenirs de bizutage pendant son service militaire? (effectué au service propreté de l’Etat-Major de l'armée de l'air) A cause de l’éthymologie de son nom? (sär kozy signifie littéralement en hongrois entre les boues)
Que nenni! (Ce serait trop facile!) Ce curieux entêtement à défendre une cause aussi "futile" cache une fêlure beaucoup plus dramatique, trouvant son fondement (si je puis m'exprimer ainsi) lors d’une conversation qu'il eut avec son père (un drôle d'oiseau!) à la pizzeria de la place Wagram, au printemps 1960. On vous expliquera cela un peu plus tard. (Et d'ailleurs, il n'est pas impossible qu'il vous faille lire le bouquin pour comprendre l’étonnant trauma subi par un petit garçon de 5 ans à qui son père vient de révéler, entre la poire et le fromage – ou plutôt entre la Napolitaine et le Pschitt orange –, que…)

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