7 juin 2007, Heiligendamm (Allemagne) sommet du G8, baptême du feu planétaire de Je suis partout. Nicolas Sarkozy rencontre Vladimir Poutine au cours d'un entretien dont on a beaucoup parlé à cause d’odieuses insinuations colportées par une chaîne de télévision d’Outre-Quiévrain (les Belges ne respectent rien, c'est bien connu!). A la suite de cet entretien, le président français, très ému (on le serait à moins) prend place derrière un pupitre pour prononcer son premier discours du futur maître du Monde. Les images du président cherchant ses mots, perdu dans des habits trop grands pour lui, hébété comme un petit garçon fébrile dans la cour des grands (la formule est empruntée à Patrick Poivre d’Arvor, qui fut châtié, ainsi qu'il le méritait, pour l’avoir prononcée), ont fait le tour de la blogosphère.
Mais que se sont donc dit les deux hommes? Pourquoi Je suis partout était-il en retard d’une demi-heure à la conférence de presse? Avait-il goûté au nectar blanc de Vladimir? Y a-t-il vraiment un rapport de cause à effet?
Vous le saurez en lisant [cliquer ici SVP] le premier chapitre du roman. C'est GRATUIT (mais ça ne durera pas, eh, oh!!!). Le chapitre 2 (Chouchou les nerfs à vif) sera EN LIGNE FIN JUILLET.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire