Je suis partout, on l’a assez répété, éprouve une aversion viscérale (regardez ICI) pour le roman de Madame de La Fayette, La princesse de Clèves.
En attendant les explications de Ferdinand Chabrieu de l’Estang (qui lui donna quelques cours particuliers alors qu’il redoublait sa sixième au collège Saint-Louis-de-Monceau et a connu le loustic au moment où il faisait les 400 coups), je ne saurais trop vous conseiller de lire l’analyse de Philippe Lançon, journaliste à Libération, qui s’en expliqua lors d’une conférence donnée à l’Université de Duke (Caroline du Nord). Le texte est en deux parties.
1ère partie: Quand la galanterie régnait en France.
2ème partie: Le salon national.
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