Vous, je ne sais pas, mais moi, quand je vois la tronche de Brice Hortefeux (et plus encore lorsque j'entends ses discours faisandés…), je plonge aussitôt dans un brouillard diffus, qui me transporte en une autre époque, peuplée de sombres personnages vêtus d'imperméables mastic. C'est comme ça… Son lapsus sur les empreintes génitales me rappelle un rêve que je fis lors de l'écriture de ce roman, peu après l'épisode des "Auvergnats". Le ministre de l'Intérieur traînait ses guêtres dans le fin fond des Aurès, et il se délectait de la vision d'un instrument très en vogue à l'époque: la terrible gégène… Alors, l'entendre dire "empreintes génitales" pour "empreintes génétiques", ça fait comme un court-circuit (douloureux) derrière mes oreilles…
JUILLET 2011. Le président se bunkérise à l'Elysée. Sa paranoïa atteint des sommets. Le 14 juillet, il est absent des cérémonies. Les rumeurs les plus folles courent. Carla l’a-t-elle quitté? A-t-il perdu la raison? A-t-il été kidnappé par les sicaires de Khadafi? Est-il toujours vivant? En désespoir de cause, Claude Guéant imagine un stratagème pour sauver le président. Mais un coup de théâtre va anéantir ses derniers espoirs… UNE POLITIQUE-FICTION RATTRAPÉE PAR LA RÉALITÉ !
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