Lundi 15 février, je suis allé pour la 2e fois en 3 semaines à l'Elysée.
Avec mes amis du CODEDO (mais sans Fernand Buron), nous avons remis la pétition lancée en décembre 2008 dans Libération, qui a recueilli près de 20.000 signatures.
Cette fois-ci, on ne m'a pas mis en garde à vue. J'ai revu quelques-uns des policiers des RG* qui m'avaient interpellé le 28 janvier. On est presque devenus potes… Etonnant, non? (*Oui, bon, je sais, ça fait "vieux jeu" de dire "RG" mais que voulez-vous, quand on a grandi sous le règne de Marcellin… Et je n'arrive pas à me faire au nouveau sigle "DCRI"…)
En tout cas, ça n'a pas été de la tarte pour accéder à l'Elysée et au ministère de l'Intérieur, et il s'en est fallu de peu pour que nous rentrions bredouilles (lire sur Rue89).
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