Face aux caméras, Thierry Herzog, l’avocat de Sarkozy, plus fier-à-bras que jamais, se débat comme une mouche prise au piège d’un papier tue-mouches, allant jusqu’à accuser François Hollande de manipuler un journaliste du Monde qu’il aurait reçu hier à l’Élysée.
Dans l’intimité, il en va tout autrement. Thierry Herzog, exaspéré par l'imbécillité crasse de son client, qu’on dit au bord de la dépression – le rayon lithium de la pharmacie voisine du 77 rue de Miromesnil aurait été dévalisé –, assommé par la force de frappe des "bâtards de Bordeaux", lâche du bout des lèvres : "C’est dur d’être l’avocat d’un mafieux !" On compatit bien sincèrement.
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