Si Sarkozy avait lu "Je suis partout (les derniers jours de Nicolas Sarkozy)", que je lui avais envoyé, avec une gentille dédicace en hongrois (au lieu de se tripoter comme un collégien en reluquant les photos de Carla dans la presse people), il aurait compris que son conseiller occulte Patrick Buisson (qui apparaît, le côté raciste en moins, dans le roman sous le nom de Jules Dessanti, conseiller ventriloque), allait le trahir dans les grandes largeurs.
Voici ce que j'écrivais le 27 février 2012.
Voici ce que j'écrivais le 27 février 2012.
Patrick Buisson (réalité), Jules Dessanti (fiction). Les conseillers ventriloques du président ne sauveront pas le soldat Sarkozy
Claude Guéant, le riant ministre de l'Intérieur (qui cumule dans le roman les postes de Premier flic et de secrétaire général de l'Elysée) n’est sans doute pas un vrai fasciste. Encore que… Le cas de Patrick Buisson est plus tranché. Ce monsieur, qui a fait ses classes à Minute et ferait un parfait ministre de l'Immigration d'une Marine Le Pen, a réussi à embobiner Sarkozy (dont l’Histoire retiendra que ses perversions narcissiques se doublaient d’une sévère cécité intellectuelle) et à le pousser à faire le grand écart pour ne pas se retrouver complètement à poil aux présidentielles de 2012.
Dans le roman, c'est un certain Jules Dessanti qui, à peu près au même moment (été 2009, juste après l'accident cardiaque de la Lanterne), avec des arguments et une méthodologie très différents, s'attèle à la délicate tâche de sauver le soldat Sarkozy. Le résultat sera bien sûr le même. Etonnant, n'est-ce pas?
Dans le roman, c'est un certain Jules Dessanti qui, à peu près au même moment (été 2009, juste après l'accident cardiaque de la Lanterne), avec des arguments et une méthodologie très différents, s'attèle à la délicate tâche de sauver le soldat Sarkozy. Le résultat sera bien sûr le même. Etonnant, n'est-ce pas?
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