M’étant tenu fort éloigné de la blogosphère ces derniers temps [et étant totalement remis de la crise aiguë de sarkozia volubilis qui me contraignit à écrire ce roman], je fais néanmoins un petit come-back pour constater qu'après le paysan ayant crié Casse-toi pov'con! à Sarkozy le jour de l'inauguration du salon de l'Agriculture 2011, qui préféra qu’on ne médiatisât point ses exploits et dont l'affaire a été classée [lire sur le site du CODEDO], voici qu'un zozo, un certain Hermann Fuster, après avoir commis ce dont beaucoup d'entre nous rêveraient de faire – filer un coup de boule dans la tronche à Sarko, youpi!!! –, se rétracte dans Le Parisien, annonçant qu'il n'en avait pas fait exprès, et qu'il était prêt à présenter ses excuses à Sarkozy… Pauvre type!!!!
JUILLET 2011. Le président se bunkérise à l'Elysée. Sa paranoïa atteint des sommets. Le 14 juillet, il est absent des cérémonies. Les rumeurs les plus folles courent. Carla l’a-t-elle quitté? A-t-il perdu la raison? A-t-il été kidnappé par les sicaires de Khadafi? Est-il toujours vivant? En désespoir de cause, Claude Guéant imagine un stratagème pour sauver le président. Mais un coup de théâtre va anéantir ses derniers espoirs… UNE POLITIQUE-FICTION RATTRAPÉE PAR LA RÉALITÉ !
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