JUILLET 2011. Le président se bunkérise à l'Elysée. Sa paranoïa atteint des sommets. Le 14 juillet, il est absent des cérémonies. Les rumeurs les plus folles courent. Carla l’a-t-elle quitté? A-t-il perdu la raison? A-t-il été kidnappé par les sicaires de Khadafi? Est-il toujours vivant? En désespoir de cause, Claude Guéant imagine un stratagème pour sauver le président. Mais un coup de théâtre va anéantir ses derniers espoirs… UNE POLITIQUE-FICTION RATTRAPÉE PAR LA RÉALITÉ !
23 janvier 2015
Le point de vue du naturaliste sur le bouffon "Je suis partout", par François Morel
Toujours aussi piquant, l’ami François Morel nous donne un avis fort éclairant sur la bête.
22 janvier 2015
Pour le rétablissement du délit d’indignité nationale envers Sarkozy

Pas gêné une seconde par les onze casseroles judiciaires qui lui collent aux baskets, l’indécent Sarkozy vient de faire savoir qu’il était favorable au rétablissement du délit d’indignité nationale, créé par l’ordonnance du 26 décembre 1944 et abrogé en 1951 par une loi d’amnistie. Ce qui semble poser quelques problèmes à la garde des Sceaux et devrait contribuer à briser le magnifique élan d’union nationale post-7 janvier 2015.
C’est une excellente idée, à condition que l’intéressé figure en tête de liste, en compagnie des Éric Besson, Brice Hortefeux, Patrick Balkany, Serge Dassault, Jérôme Cahuzac (liste non exhaustive).
19 janvier 2015
Combien le petit mafieux Sarkozy coûte à la République depuis 2012
À lire sur Mediapart (payant) et Le Parisien.
Yann Perot a initié une pétition pour en finir avec cette scandaleuse incongruité et abolir les privilèges des anciens présidents. (Chirac et Giscard sont également engraissés avec nos impôts.) On signe ICI.
Rappelons que Sarkozy est mise en cause dans ONZE affaires judiciaires.
Yann Perot a initié une pétition pour en finir avec cette scandaleuse incongruité et abolir les privilèges des anciens présidents. (Chirac et Giscard sont également engraissés avec nos impôts.) On signe ICI.
Rappelons que Sarkozy est mise en cause dans ONZE affaires judiciaires.
12 janvier 2015
Pour Sarkozy, ce n'est pas JE SUIS CHARLIE mais encore et toujours JE SUIS PARTOUT

Il m’a souvent été reproché d’avoir, pour les besoins de ce roman, affublé Nicolas Sarkozy du sobriquet Je suis partout. [Je me souviens d’une fête du livre en Seine-Maritime où un certain Arthur Dreyfus regretta, lors d’un débat sur la liberté d’expression, que mon livre – dont il n’avait lu que le 4e de couverture – n’ait pas été poursuivi devant les tribunaux.] La justesse de ce choix, qui ne faisait aucunement référence au torchon collabo mais aux fantasmes d’ubiquité du mafieux court-sur-pattes de Neuilly, vient encore d’éclater au grand jour en ces circonstances tragiques qui marquent le début de l’année 2015, où l’on a vu trois terroristes au QI de crustacé exécuter (au nom d’Allah) douze personnes à Charlie-Hebdo (dont l’ami Tignous), une policière municipale de Montrouge (au nom de rien du tout) et quatre clients juifs d’une supérette Casher (au nom d’un antisémitisme rance et mortifère).
Présent parmi les 50 chefs d'État et de gouvernement invités par François Hollande à la marche du 11 janvier, en hommage aux 17 victimes de cette triple tuerie, Sarkozy ne pense qu'à une chose : se montrer au premier rang, comme le montre cette vidéo du Huffington Post. Le petite bonhomme, terrorisé à l’idée de retourner à son destin de cloporte, joue des coudes, bouscule le protocole et se faufile entres les invités. Il sera d’ailleurs remis en place par un officier du protocole, au moment de la minute de silence! Le reste – la douleur de millions de Français – ne l’intéresse pas. Pauvre con.
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